Ce plat facile
à réaliser réunit les fins ingrédients de la cuisine japonaise, mirin, sauce
tamari et vinaigre de riz. Une improvisation qui a mérité un peu plus que la
note de passage, pour le plus grand bonheur des goûteurs.
Appréciation *** ¼
Ingrédients
pour deux
18 belles
crevettes tigrées, dans leur carapace
6 champignons de
Paris ou café, tranchés
2 c. à soupe
d’huile de pépins de raisin, de canola
(ou d’une huile neutre)
1 c. à thé de
beurre ou de margarine non hydrogénée
2 gousses d’ail,
pressées
4 tranches de
gingembre, hachées finement
1 petit piment
vert, épépiné et haché finement
1 c. à soupe de
sauce de poisson
1 c. à soupe de
sauce tamari réduite en sodium
1 c. à soupe de
vinaigre de riz
1 c. à soupe de mirin
1 c. à thé d’huile
de sésame grillé
Le jus de 2
clémentines
Le zeste de ½
orange
1 carotte moyenne,
en fines lanières
1 c. à soupe de
graines de sésame
1 sac de jeunes
pousses d’épinards, cuits au beurre
Vermicelles de riz
en accompagnement *
Préparation
Dans un petit bol,
réunir les sauces (poisson et tamari) le vinaigre de riz, le mirin, l’huile de
sésame grillé et le jus de clémentines. Réserver.
Chauffer un wok ou
une grande poêle et y faire sauter les champignons dans la matière grasse. Les
retirer, ajouter un peu d’huile, et faire sauter l’ail, le gingembre et le
piment durant 1 min. Tasser sur les bord, puis ajouter les crevettes et les
laisser se colorer en rose à feu moyen vif, des deux côtés. Ajouter les
ingrédients liquides, remettre les champignons et bien réchauffer le tout.
Servir cette
poêlée sur des vermicelles de riz entourés d’épinards et garnir de lanières de
carotte et de graines de sésame.
* Contrairement
aux pâtes alimentaires, les vermicelles chinois n’ont pas besoin d’une cuisson
à l’eau bouillante. On les plonge dans une eau salée dont on vient d’arrêter
l’ébullition et on les défait à la fourchette en les remuant pendant cinq minutes
environ, jusqu’à ce qu’ils soient tendres.
Wow wow et encore RE wow Merci à garder précieusement....et surtout très hâte de la faire.......
RépondreSupprimerBonjour Jo,
RépondreSupprimerTu vas sûrement aimer ce plat, même s'il ne contient pas de cari. Et tu ne mettras probablement pas
de piment... Tu as vu? Je n'ai pas dégermé l'ail. Et sapristi, j'ai très bien digéré...!
:-))
Bon dimanche !
Bonjour Messidor et Jo Blo, coucou aux habitués
RépondreSupprimerQue j'aime cette recette ce matin, tout simplement dans mes goûts. Dis-moi aés-tu fait frire les épinards où tu les as simplement servi frais? À ne pas douter que cette recette se retrouvera sur notre table dans un délai rapproché. Même l'homme de la maison (qui a vu la photo) en bave déjà.
Pour notre part une de tes recettes a fait titiller nos papilles hier. Nos assiettes étaient garnies d'un lapin aux champignons que nous avons adoré. Un seul changement à ta recette, je n'ai pas mis de champignons café mais un mélange de champignons sauvages. À refaire.
Bon dimanche
Ciao
Bonjour Puce,
RépondreSupprimerJe réponds à ta question, j'ai simplement fait tomber les épinards. Mais ce serait délicieux de les frire au four,
bonne idée, un croustillant de plus, j'adore...!
Ah, chanceuse, un lapin aux champignons sauvages, ce doit être du bonheur en bouche.
Je suppose qu'ils étaient déshydratés, en cette saison, tu en as trouvé des frais?
Toujours contente de savoir que mes recettes sont appréciées, merci d'être passée me le dire.
Bonnes découvertes dominicales !
Re-allô Messidor,
RépondreSupprimerEn effet comme tu l'écris c'était du bonheur en bouche et oui, les champignons étaient déshydratés.
Mais, que c'était bon, bon, bon.