La décision récente que nous avons prise de ne plus consommer de viande rouge nous incite à rechercher des aliments capables de la remplacer. Ce sont parfois des expériences décevantes, mais ce ne fut pas le cas de ces galettes.
Celles-ci, une fois cuites et installées entre deux moitiés de pain au sésame offrent une apparence, une texture et un goût qui se rapprochent du boeuf. Contrairement aux galettes composées de protéines de soya, elles sont à base de protéines de pois.
La liste des ingrédients est longue, le taux de sodium élevé, mais les saveurs sont assez semblables aux galettes qu’on trouve en restauration rapide, et une fois qu’on y ajoute ses ingrédients préférés, tomate, oignon, salade, moutarde, fromage ou autres condiments, on pourrait presque s’y tromper. Notre appréciation est donc plutôt satisfaisante, nous n’hésiterons pas à nous en procurer quand nous aurons envie de burgers différents de ceux que je prépare avec du poulet, des pois chiches ou autres légumineuses.
Ces galettes sont en promotion cette semaine chez Métro, mais l’offre se termine ce soir. J’ai payé 6, 99 $ pour deux galettes de 112 g chacune. Ce n’est pas donné. Et j’ignore quel sera le prix régulier, mais il est probable qu’il sera aussi élevé que la viande de boeuf. On suggère de les cuire dans une poêle à revêtement antiadhésif entre 12 et 14 minutes sur feu moyen. J’ai dû réduire le feu pour ne pas qu’elles brûlent et les ai laissées environ 8 minutes. On peut aussi les cuire au barbecue.
Si vous les essayez, il me fera plaisir de lire vos commentaires.
Bonjour Rachel. Pour ma part j'utilise de la dinde hachée pour les bugers. Justement a cause de la liste d'ingredients sur les boulettes vg de tout genre.
RépondreSupprimerAvec la dinde hachée, on peut lui donner la goût qu'on veut avec épices, herbes,etc...
Bonjour Café,
SupprimerMerci de ton commentaire. Je suis d’accord avec toi, je me sers moi aussi de dinde ou de poulet et les ajouts d’épices et d’herbes en font des burgers très satisfaisants. Mais je suis toujours à l’affût de nouveaux produits, j’aime les essayer, histoire de vérifier les motifs de leur engouement ou l’indifférence avec laquelle on les reçoit. À l’heure où on remet beaucoup en question l’importance de la viande dans l’alimentation humaine et les lourdes conséquences qu’elle génère sur l’environnement, il est bon de vérifier si les solutions de remplacement qu’on nous propose ont une certaine valeur en ce qui concerne leur goût.