Les arômes qui s’échappent de la casserole valent à eux seuls le peu d’efforts que nécessite la préparation de ce poulet tendre, finement épicé et moelleux. Succulent !
Appréciation du goûteur *** 1/4
Ingrédients pour quatre portions raisonnables
1 poulet de 1,5 kg, en quatre morceaux, la peau enlevée (on garde les ailes, la peau et la carcasse pour un bon bouillon)
1 c. à soupe d’une huile neutre, pépins de raisin ou autre + 1 c. à thé de beurre
1 oignon, tranché
1 poire ou 1 pomme, en dés
3 bons morceaux de gingembre, pelés
1 fleur d’ail émincée, ou 1 ou 2 gousses d’ail pressées
1 c. à thé de cari de Madras
1 c. à thé de pâte de cari jaune
1/2 c. à thé de curcuma
1/2 c. à thé de garam masala
Flocons de piment, au goût
1 tasse de tomates fraîches ou en conserve, en dés
1 1/2 tasse de bouillon de poulet
Coriandre fraîche pour garnir
Sel, poivre et paprika
1. Assaisonner les morceaux de poulet des deux côtés. Dans un grand poêlon ou une casserole, les faire revenir dans l’huile jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Transférer dans un bol et réserver.
2. Dans le poêlon, ajouter la poire et l’oignon, et cuire doucement jusqu’à légère caramélisation, soit environ 5 min.
3. Ajouter les épices en remuant. Mouiller avec les tomates et le bouillon, puis
remettre le poulet dans cette sauce.
4. Couvrir et cuire 45 min à faible ébullition ou jusqu’à ce que le poulet soit cuit. Vérifier à l’aide d’un couteau pointu: si je jus qui s’en écoule est clair, le poulet est cuit.
5. Garnir de coriandre et servir avec riz basmati et légumes au goût.
Chouette, il en reste !
Il nous est resté une bonne quantité de sauce et 1 poitrine de poulet bien charnue. J’en ai désossé la moitié et l’ai défaite en morceaux. J’ai déposé sur un plan de travail 3 tortillas que j’ai garnies de morceaux de poulet, de légumes cuits, du basmati qu’il me restait et de languettes de cheddar. J’ai roulé les tortillas, les ai fixées à l’aide d’un cure-dents et les ai placées sur une plaque de cuisson doublée de papier parchemin. À l’aide d’un pinceau de cuisine, j’ai légèrement huilé les tortillas et les ai enfournées pour 20 min. J’ai fait chauffer une partie de la sauce qu’il me restait pour napper les rouleaux au service. Dé-li-cieux!
Je le sens d'ici wow que cela sent bon..
RépondreSupprimerDu vrai bonheur......qui me transporte lors de mes premières fois ou lorsque j'ai découvert ces odeurs....
C'était sur la rue Chabanel à Montréal....certaines personnes de nationalité indiennes y travaillaient...à la réception-expédition et moi de leurs micro-ondes au bureau, mes narines se réveillâmes et depuis elles sont toujours restées sensibles à cette odeur...qui vient encore et toujours me chatouiller les narines....
Du vrai bonheur merci.....car c'est même au point que la plupart du temps ce n'est que du ressenti d'odeurs et même pas contenter à en manger....et même à ce point cela vient me chercher.....même à l'imagination.....hum....
Je devais être une indienne dans une autre vie hihi.....
Bonjour Jo,
SupprimerTu sembles avoir connu la cuisine indienne avant moi. C’est vrai que
les odeurs ont leur importance et qu’elles arrivent presque à contenter
le palais. Un mélange de douceur et de finesse.
Ah oui, tu a dû être une indienne dans un autre vie...
Namasté !
Bonjour Messidor, coucou Jo Blo et aux habitués,
RépondreSupprimerOh là là, les odeurs que ce plat ont dégagées devaient être très stimulantes. L'homme de la maison et moi aimons beaucoup ces repas indiens que nous savourons sans nous tannés. L'ado. un peu moins, mais elle s'habitue tranquillement et développe une certaine attirance pour la cuisine indienne.
Dans nos assiettes hier des paupiettes de veau, sauce aux champignons, une purée de p.d.t. et de rabiole ainsi qu'une bonne salade.
Bon vendredi gourmand
Ciao
Bonjour Puce,
SupprimerOui, de bonnes odeurs qui stimulent l’appétit et qui parfument le
poulet.
Miam, des paupiettes de veau, ça fait un bon moment, un régal
à mettre sur ma liste.
Belle journée pour la cuisine, le temps est plus frais, du bonheur pour
la journée !