vendredi 31 janvier 2020

Boulettes en sauce teriyaki +


Pratiques, les boulettes, quand on a peu de temps pour cuisiner. On les façonne, on les met au four, et pendant qu’elles cuisent, on mitonne une sauce express où on les plonge dès leur sortie du four. D’accord, elles manquaient d’une herbe fraîche, mais fermes et tendres, m’a dit mon goûteur, et qui n’a en rien entamé le plaisir de les déguster. 

Appréciation *** 1/8 
Ingrédients pour deux 
225 g de poulet haché ou de porc 
1/2 oeuf (environ 3 c. à soupe d’oeuf battu) 
3 c. à soupe de flocons d’avoine à cuisson rapide 
2 c. à soupe de chapelure panko 
1 petite gousse d’ail, pressée 
3 tranches fines de gingembre, hachées finement 
1/2 c à thé de sauce soya réduite en sel 
1/2 oignon vert, haché, la partie verte émincée ira dans la sauce 
Sel léger, poivre au goût 

Sauce teriyaki express
1/4 tasse de jus d’orange 
1/4 tasse de sauce tamari ou soya, réduite en sel 
1/4 tasse de bouillon de poulet 
2 c. à soupe de marmelade d’orange ou de miel 
1 c. à soupe de vinaigre de riz 
1/2 c. à thé d’huile de sésame grillé 
2 ou 3 pincées de poivre de Cayenne 
1 c. à thé comble de fécule de maïs délayée dans un peu d’eau 
3 c. à soupe de coriandre, pour garnir la prochaine fois 

La cuisson des boulettes se fait dans un four à 400 °F (200 °C) et dure 20 minutes. 

1. Dans un bol, réunir tous les ingrédients des boulettes et en façonner 7 de la grosseur de balles de ping-pong. Déposer sur une plaque à cuisson doublé de papier parchemin et enfourner durant 20 minutes. 

2. Pendant ce temps préparer la sauce. Dans un wok ou un poêlon, réunir tous les ingrédients et porter à ébullition. Réduire le feu et laisser mijoter 5 minutes. 

3, Lorsque les boulettes sortent du four, les déposer dans la sauce et mélanger le tout. Servir sur des nouilles ou du riz.


jeudi 30 janvier 2020

Tarte menteuse aux framboises et au chocolat +


Je prépare presque tous nos gâteaux dans des assiettes à tarte, de là le nom que je leur ai donné parce qu’ils ressemblent en apparence à des tartes sans croûte. Je les appelle parfois des tartes paresseuses, parce que je n’utilise pas d’appareils électriques pour les préparer.  Mais presque toutes ces tartes menteuses ont des goûts et des textures différents, grâce aux fruits qu’elles contiennent, comme celle-ci qui renferme des tranches d’amande, de la purée de banane, des framboises et des pépites de chocolat noir, ingrédients qui lui donnent une texture mouillée, moelleuse et fraîche, délicieuse à n’en pas douter. 

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour six ou huit portions 
3 c. à soupe d’huile de pépins de raisin ou d’une autre huile neutre 
3 c. à soupe de crème sure légère 
1 oeuf 
1/2 tasse de sucre 
1/3 tasse de farine 
1/3 tasse de tranches d’amande 
1 c. à thé de levure chimique (poudre à pâte) 
2 c. à soupe de cacao non sucré 
1 petite banane mûre en purée
1/4 tasse de pépites de chocolat noir 
1/2 barquette de framboises 

 Garnitures craquantes 
1/2 barquette de framboises 
2 c. à soupe de sucre brut 

 La cuisson se fait dans un four à 350 °F (180 °C) et dure une trentaine de minutes. 

1. Dans un bol moyen, réunir l’huile, la crème sure et l’oeuf et bien battre au fouet. 

2. Dans un bol plus petit, réunir le sucre, la farine, les tranches d’amande, la levure chimique et le cacao. Bien mélanger. 

3. Incorporer ces ingrédients secs à la préparation à l’huile en alternant avec la purée de banane. 

4. Ajouter à cette pâte les pépites de chocolat et les framboises et bien mélanger. 

5. Enfoncer le reste des framboises dans la pâte et saupoudrer de sucre brut. Verser dans une assiette à tarte bien beurrée. 

6. Enfourner et cuire au four à 350 °F (180 °C) pendant 35 minutes ou jusqu'à ce que le mélange soit cuit et qu’un cure-dents enfoncé au centre de la pâte en ressorte presque sec, car cette tarte a une texture tendre et moelleuse. 

Mettre au frigo avant de découper en pointes et de servir.



mercredi 29 janvier 2020

Petits pains de viande à l’orientale +


Ces galettes, bien dissimulées sous leur sauce, se composent de canneberges, de noix de cajou et de poulet haché, mais le porc serait un bon choix aussi. En réalité, ce sont des pains de viande miniatures auxquels j’ai donné des saveurs orientales, tout comme à la sauce aux champignons. Un repas pour deux rapide à préparer, facile à doubler pour quatre, consistant, goûteux et très savoureux.

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour deux 
Galettes de viande 
225 g de poulet extra maigre, haché 
2 champignons moyens, hachés finement 
2 c. à soupe de canneberges séchées 
1/4 tasse de flocons d’avoine à cuisson rapide
1 /4 tasse de noix de cajou, hachées grossièrement 
1 c. à soupe de gingembre, râpé 
1/2 œuf, environ 4 c. à soupe d’oeuf battu 
1 c. à soupe de sauce tamari ou soya réduite en sel
Le zeste de 1 orange 
Sel et poivre au goût 

Sauce express à l’orientale 
6 à 8 champignons moyens, tranchés 
1 c. à soupe d’huile de pépins de raisin + 1 c. à thé de beurre 
Le jus de 1 orange, environ 1/2 tasse 
1/2 tasse de bouillon de poulet réduit en sel 
1 c. à soupe comble de sauce hoisin 
2 c. à thé de fécule de maïs délayées dans de l’eau 
Quelques gouttes de sauce au piment 

Accompagnements 
Riz vapeur ou nouilles fines 

La cuisson des galettes se fait dans un four à 350 °F (180 °C) et dure 30 minutes. 1. Dans un bol, réunir les ingrédients des galettes. Assaisonner légèrement de sel et de poivre et mélanger à l’aide d’une fourchette. 

2. Répartir dans deux ramequins huilés ou beurrés et égaliser avec le dos d’une cuillère. 

3. Enfourner et cuire 30 minutes. 

4. Quinze minutes avant la fin de leur cuisson, préparer la sauce. Dans une petite casserole, faire revenir les champignons dans la matière grasse durant 2 ou 3 minutes. Dans une tasse, réunir le jus d’orange, le bouillon, ajouter la fécule délayée, la sauce hoisin et la sauce au piment. Verser sur les champignons, porter à ébullition en remuant, la sauce épaissira. Goûter, rectifier l’assaisonnement au besoin, et laisser reposer jusqu’à ce que les galettes soient cuites. 

5. Dès que celles-ci ont terminé leur cuisson, retirer les ramequins du four, puis les démouler sur deux assiettes garnies de riz ou de nouilles chinoises. Réchauffer la sauce et la verser sur les pains de viande. 

La recette qui a inspiré cette version 

mardi 28 janvier 2020

Goulache de poulet +


Quel plaisir de découvrir d’autres manières savoureuses de recycler un reste de poulet que celles, nombreuses, déjà improvisées ! Hier dans une sauce au poivron et aux champignons, fleurant bon le carvi et garnie d’une lichette de crème sure, un délice à la hongroise. 

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour deux avec petit reste 
1 c. à soupe d’huile d’olive + 1 c. à thé de beurre 
1/2 barquette de champignons, tranchés 
1 oignon, haché 
1 poivron jaune ou rouge, en dés 
2 gousses d’ail, pressées 
1 c. à thé de paprika doux 
1/4 c. à thé de thym 
1/2 c. à thé de graines de carvi, entières ou broyées, au goût 
1/8 c. à thé de poivre de Cayenne 
1 c. à soupe comble de farine 
1 1/2 tasse de bouillon de poulet 
2 c. à soupe de concentré de tomate 
1 1/2 tasse de poulet cuit, en morceaux 
2 c. à soupe de persil ou de coriandre 
2 c. à soupe de crème sure 
Sel et poivre au goût 

1. Dans un poêlon profond ou un wok, faire fondre le beurre dans l’huile et y attendrir les champignons, l'oignon et le poivron entre 3 et 5 minutes. Ajouter l’ail, les herbes et les épices, puis saupoudrer de farine et bien mélanger. 

2. Verser le bouillon, porter à ébullition, ajouter le concentré de tomate et laisser épaissir. Ajouter les morceaux de poulet, puis le persil ou la coriandre. Laisser mijoter 5 ou 6 minutes, goûter, rectifier l’assaisonnement. 

3. Servir avec une cuillerée de crème sure, l’assiette entourée de pâtes, ici des orechiettes

Recette tirée du livre Coup de pouce, Nos 225 meilleures recettes express, Les éditions Continental, 2012.


lundi 27 janvier 2020

Tarte grecque en croûte de riz +


Nous avions des invités hier, voici la tarte que nous avons servie en entrée, d’après une recette de Josée di Stasio. Je l’ai à peine modifiée, juste ce qu’il fallait pour qu’elle tienne dans une assiette à tarte, et j’ai remplacé les olives noires par des tomates séchées. Hyper délicieuse, je vous la recommande ! 

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour six 
Croûte de riz 
2 tasses de riz cuit 
2 oeufs 
1/3 tasse de parmesan fraîchement râpé 
Le jus de 1/2 citron 
3 c. à soupe de coriandre 
2 c. à soupe de graines de tournesol (au lieu de graines de sésame) 

Garnitures 
142 g de jeunes pousses d’épinards, revenus dans un peu d’huile 
12 fines tranches de fêta de moins de 1 cm (1/4 pouce) 
3 coeurs d’artichaut en tranches 

Préparation liquide 
2 oeufs gros 
1/2 tasse de crème légère (15%) 
3 tomates séchées dans l’huile, hachées au couteau 
3 c. à soupe de basilic frais, émincé 
1 c. à thé d'origan séché 

La cuisson se fait dans un four à 350 °F (180 °C ) et dure 40 minutes. 

1. Mélanger tous les ingrédients de la croûte. Foncer une assiette à tarte en céramique beurrée avec la préparation. Ne pas excéder 1 cm d’épaisseur. Cuire au four 15 minutes. 

2. Pendant ce temps, préparer les ingrédients de l’étagé. Lorsque la croûte est cuite, disposer en étage sur celle-ci, d’abord les épinards, ensuite les tranches de fromage feta, puis les artichauts. 

3. Dans un bol, battre les oeufs avec la crème. Ajouter le basilic, l’origan et les tomates séchées. Verser ce mélange sur les légumes. 

4. Cuire au four entre 35 et 40 minutes ou jusqu’à ce que centre de la tarte soit ferme au toucher. 

La recette originale,

Tarte grecque avant de verser la préparation liquide
Cuite et prête à servir

dimanche 26 janvier 2020

Ma strata de paresseuse +


La strata se prépare généralement avec des restes, mais hier, pour notre repas du midi, je l’ai faite avec une bonne miche intégrale, des oeufs, du cheddar et avec notre dépanneur préféré, du maquereau en conserve. Naturellement, rien ne vous empêche d’utiliser des conserves de poisson de votre choix, saumon, thon, sardines, ce pourrait même être du jambon, du poulet ou un reste de viande. Ce qui importe, c’est l'harmonie des condiments ajoutés, la rapidité d’exécution, même l’attente de 2 ou 3 heures a été escamotée sans problème, le résultat fut extra savoureux !

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour deux 
2 oeufs 
3/4 tasse de lait, moi, lait de soya non sucré 
1 poivron rouge grillé, la peau retirée, en dés 
7 olives noires dénoyautées, en tranches 
1/2 c. à thé de basilic séché 
1/2 c. à thé d’origan séché 
3 c. soupe de coriandre fraîchement émincée 
3 c. à soupe de parmesan, râpé finement 
2 tasses de cubes de pain,ici une miche intégrale de L’amour du pain 
1 conserve de maquereau de 217 g, égouttée et hachée au couteau 
3/4 tasse de cheddar fort, râpé 
Pas de sel, poivre au goût 

La cuisson se fait dans un four à 350 °F (180 °C), en mode convection et dure 30 minutes. 

1. Dans un grand bol, fouetter les œufs jusqu’à consistance homogène; incorporer le lait, le poivron, les olives, les herbes séchées et fraîches, ainsi que le parmesan, et bien mélanger. 

2. Ajouter les cubes de pain et le maquereau, la moitié du cheddar, et remuer délicatement pour combiner. Étendre dans un plat bien beurré, ou une assiette à tarte en céramique allant au four. Parsemer du reste du fromage. Ordinairement, on couvre et on réfrigère quelques heures, ce que je n’ai pas fait hier. 

3. Enfourner et cuire 30 minutes, ou jusqu’à ce que le dessus soit gonflé et qu’une bonne odeur parfume la cuisine. Laisser reposer 5 minutes avant de servir avec une bonne salade.


samedi 25 janvier 2020

Poulet braisé au cidre, aux pommes et au chou +


J’ai suivi cette chouette recette en apportant au moins deux modifications, j’ai réduit la quantité de chou frisé (selon moi, disproportionnée) et prolongé le temps de cuisson d’une bonne trentaine de minutes. Résultat : le poulet était tendre et moelleux, la sauce moins goûteuse que je l’aurais voulue. La prochaine fois, je lui ajouterai les pommes restées au fond du poêlon et la fouetterai au bras mélangeur avant de la réchauffer. 

Appréciation *** 1/8 
Ingrédients pour quatre 
1 c. à soupe d’huile d’olive + 1 c. à thé de beurre 
3 pommes, en cubes (pelées, sans le cœur) 
2 gousses d’ail, pressées 
1 poulet en 8 morceaux (moi, sans la peau, les ailes intactes) 
1 1/2 tasse de cidre brut, moi jus de pomme pétillant Tradition 
1 petite branche de romarin séché 
2 feuilles de chou frisé (kale), hachées grossièrement 

1. Dans un grand poêlon, sur feu moyen-vif, chauffer l’huile d’olive. Faire revenir les pommes 3 ou 4 minutes, jusqu’à ce qu’elles commencent à dorer. 

 2. Saler, poivrer et saupoudrer les morceaux de poulet de paprika. Repousser les pommes sur un côté de la poêle et faire dorer le poulet de chaque côté. 

3. Ajouter le cidre ou le jus de pomme et le romarin. Porter à ébullition, puis réduire le feu à moyen-doux. Laisser mijoter à couvert 40 minutes. Ajouter le chou frisé 2 minutes avant la fin de la cuisson. 

4. Pour faire la sauce, prélever une bonne partie du jus de cuisson et le verser dans une petite casserole. Porter à ébullition et laisser réduire quelques minutes jusqu’à léger épaississement. Ou, comme je le suggère dans l’introduction, mixer le jus de cuisson au bras mélangeur avec les pommes restées au fond du poêlon. 

5. Servir le poulet et napper de sauce. 

La recette originale 




vendredi 24 janvier 2020

Parmentier au poisson blanc


J’avais hier deux beaux filets d’aiglefin, l’un de nos deux poissons blancs préférés, et j’ai eu envie de les recouvrir d’une bonne purée aux pommes de terre et au céleri-rave. Ce fut un savoureux repas, sauf que j’ai préparé trop de sauce, j’en ai retiré un peu mais pas suffisamment, ce qui a imbibé la purée en transformant le plat en une sorte de magma peu ragoûtant, mais délicieux. Je suggère donc de réduire la sauce, comme je le fais ci-dessous. 

Purée au céleri-rave 
3 pommes de terre moyennes, pelées et coupées en morceaux 
1/2 céleri-rave (env. 150 g), coupé en morceaux 
1 c. à soupe de margarine 
3 c. à soupe de coriandre fraîche 
Sel et poivre au goût 

Sauce à l’aiglefin 
1 c. à soupe d’huile d’olive + 1 c. à thé de beurre 
1 échalote sèche, hachée finement 
1 poivron doux, grillé de préférence, la peau retirée, en dés 
1/4 c. à thé de chacune des herbes séchées suivantes: basilic, thym, origan 
Le zeste de 1/2 citron 
1 c. à thé de farine 
1/2 tasse de lait 
2 filets d’aiglefin, environ 300 g au total, en bouchées 
Sel et poivre au goût 

Garniture 
3 c. à soupe de parmesan ou de manchego râpé finement, + ou - au goût 

La cuisson se termine dans un four à 400 °F (200 °C) et dure une quinzaine de minutes. 

1. Pour la purée, dans une petite casserole, réunir les pommes de terre et le céleri-rave et recouvrir d’eau froide. Saler, porter à ébullition, réduire le feu et laisser mijoter 18 minutes. Égoutter et remettre sur le feu 30 secondes, ajouter la margarine et piler jusqu’à l’onctuosité désirée. Ajouter la coriandre et le poivre, et donner quelques coups de fourchette pour la rendre plus légère. Réserver. 

2. Dans un poêlon, faire fondre le beurre dans l’huile, y faire suer l’échalote 2 ou 3 minutes, ajouter le poivron, les herbes séchées et le zeste de citron. Saupoudrer de farine, bien mélanger et verser le lait. Porter à ébullition, cuire 1 ou 2 minutes, puis ajouter les bouchées de poisson. Saler et poivrer et laisser cuire le poisson sans insister, sa cuisson s’achèvera au four. 

3. Dans un plat allant au four, verser cette sauce à l’aiglefin et recouvrir de la purée. Garnir de fromage et enfourner. 

4. Cuire 12 minutes, allumer le gril, et sans déplacer le plat, cuire encore 2 ou 3 minutes en surveillant, pour faire dorer la purée.


jeudi 23 janvier 2020

Escargots sur cheveux d’ange Nu


J’aime bien essayer des nouveaux aliments, je ne savais rien des pâtes Nu, sauf qu’elles sont riches en fibres et très peu caloriques. Et pour goûter hier une de leurs variétés, des cheveux d’ange, j’ai pensé que c’était une bonne idée de les accompagner d’escargots, que nous aimons bien et qui ont peu fréquenté nos assiettes au cours des dernier mois. Il faut dire que ces pâtes n’ont rien de conventionnel, elles ne contiennent ni farine ni semoule, voir le lien ci-dessous. On a beau vouloir s’adapter à manger différemment et accepter de consommer de plus en plus de substituts, la texture de ces fausses pâtes, leur absence de fermeté et de goût, et la désagréable impression de manger des nouilles trop cuites nous ont empêchés de leur trouver quelque qualité que ce soit. 

Appréciation : la sauce est à refaire, mais pas sur des pâtes Nu 
Ingrédients pour deux 
1 petite conserve d’escargots, égouttés et soigneusement rincés  
1/2 tasse de vin blanc 
1 c. à soupe d’huile d’olive + 1 c. à thé de beurre  
1 échalote sèche, hachée 
2 gousses d'ail, pressées  
1 c. à soupe de farine
8 tomates raisins, en moitiés 
6 olives de Kalamata, dénoyautées et hachées à la main 
1/2 tasse de mélange laitier à cuisson 
1 poignée de feuilles de basilic, hachées  
Sel et poivre au goût  

1. Dans un bol, réunir les escargots rincés, le vin blanc, et faire macérer une vingtaine de minutes. Après ce temps, retirer de la marinade, filtrer et conserver celle-ci.  

2. Dans un poêlon, faire fondre le beurre dans l'huile, sur un feu moyen, et y attendrir l’échalote 3 ou 4 minutes. Ajouter l’ail et cuire 1 minute.   

3. Saupoudrer de farine, mouiller avec la marinade dans laquelle ont macéré les escargots, porter à ébullition et laisser épaissir 2 ou 3 minutes sur feu moyen-doux.  

4. Ajouter les tomates, les olives et le mélange laitier à cuisson, laisser cuire 2 minutes.Transférer les escargots dans le poêlon et bien réchauffer sur un feu moyen-doux. Gôuter, assaisonner de sel et de poivre. Si on tient à essayer les pâtes Nu, bien les égoutter avant de les ajouter à la sauce, mais leur préférer de vraies pâtes, puis garnir de basilic frais. 

Pour tout savoir sur les pâtes Nu,


mercredi 22 janvier 2020

Burgers de maquereau à l’italienne +


Le maquereau en conserve est devenu au fil des jours un de nos dépanneurs préférés. Sur une pizza ou en tartinade, en omelette ou enroulé dans des tortillas, il se révèle toujours délicieux. Parce qu’il est très goûteux, il s’accommode fort bien de tomates séchées et d’herbes sèches prisées de la cuisine italienne. Je n’y ai pas pensé hier, mais une petite sauce mayo-yo aromatisée au zeste de citron, aurait fait une garniture de choix. La prochaine fois! 

Appréciation *** 1/8 
Ingrédients pour deux 
1 conserve de maquereau de 217 g, égouttée et hachée au couteau 
1/2 tasse de chapelure nature comme du panko 
3/4 c. à thé d’herbes séchées au choix: basilic, origan, fenouil, menthe 
2 c. à soupe de parmesan fraîchement râpé (facultatif) 
2 tomates séchées dans l’huile, hachées finement 
1 pincée de poivre de Cayenne, au goût 
1 oeuf 
Sel et poivre au goût 
2 pains kaiser, tranchés sur l’épaisseur 

La cuisson des galettes se fait dans un four à 375 °F ( 190 °C) en mode convection, ou à 400 °F (200 °C) en mode ordinaire. 

1. Dans un bol moyen réunir tous les ingrédients, sauf les pains, et bien mélanger. Pour que les condiments et les herbes imprègnent le poisson, on peut faire reposer la préparation une ou deux heures au frigo quand on a le temps, mais ce n’est pas indispensable. 

2. Façonner deux boulettes et les aplatir en galettes ou se servir d’un emporte-pièce, comme ici. 

3. Déposer sur une plaque à cuisson recouverte de papier parchemin en laissant de l’espace pour les pains, et enfourner une quinzaine de minutes. 

4. Ajouter ensuite les pains sur la plaque et laisser le tout encore minutes. Assembler galettes et pains et servir avec une bonne salade (ici, au chou chinois et aux pommes) et des croustilles de maïs. 

Pour la sauce, mélanger 
4 c. à soupe de mayonnaise légère et 
3 de yogourt nature. 
Ajouter le zeste de 1/2 citron ou de lime. 
Saler et poivrer au goût 
et napper les galettes dès leur sortie du four. Miam !



mardi 21 janvier 2020

Gratins de légumes à l’indienne


Voici un petit plat léger et polyvalent fleurant bon le cari. C’est un chouette dépanneur, on peut y mettre les légumes qu’on a sous la main, cuits ou qui cuisent rapidement. Il se prépare en deux temps trois mouvements, et convient bien pour un repas du midi. 

Appréciation *** 
Ingrédients pour deux 
2 c. à soupe d’huile d’olive 
1 poireau, haché finement 
1 gousse d’ail, pressée 
4 fines tranches de gingembre frais, hachées finement 
1 c. à soupe comble de farine 
1 tasse de bouillon de poulet ou de légume 
1 c. à thé de pâte de cari rouge Madras 
2 tasses de fleurettes de chou-fleur 
1 tasse de patate douce en cubes 
Sel et poivre au goût 

Gratin délice 
1 oeuf 
1/3 tasse de lait de coco, de crème légère ou de mélange laitier 
50 g de fromage râpé, environ 1 tasse d’emmenthal 

La cuisson se termine dans un four à 375 °F (190 °C) et dure en tout une trentaine de minutes, dont la moitié au four. 

 1. Dans une casserole ou un poêlon profond, chauffer l’huile et y attendrir le poireau. Ajouter l’ail, le gingembre, la pâte de cari rouge et la farine, et cuire 1 minute. Mouiller avec le bouillon et bien délayer le roux pour obtenir une sauce de consistance moyenne. Incorporer les légumes, couvrir, porter à ébullition et laisser mijoter une douzaine de minutes ou jusqu’à ce que les légumes soient presque cuits. 

2. Transférer dans deux plats allant au four. 

3. Dans un bol, battre l’oeuf avec la crème. Ajouter la moitié du fromage et répartir cette préparation entre les ramequins. Recouvrir avec le reste du fromage et enfourner. 

4. Cuire une quinzaine de minutes. Au besoin, allumer le gril (broil) pour faire dorer les gratins.


lundi 20 janvier 2020

Pavés de saumon Wellington imparfaits


Je n’ai pas suivi de recette pour ce premier essai, je me suis plutôt inspirée d’une adaptation de la tourte pascale qui se fait avec une pâte brick du commerce, mais que j’ai remplacée par ma pâte brisée préférée. Le résultat est délicieux, mais comme mes pavés de saumon étaient particulièrement costauds, ils ont manqué de gras, ce qui les aurait rendus plus moelleux pour ne pas dire moins secs. En revanche, la cuisson était parfaite et la pâte à la hauteur de nos attentes. Je suggère des pavés de 120 g tartinés d’une fine couche de beurre à l’ail et à l’estragon, c’est en tout cas ce que je ferai la prochaine fois pour qu’ils soient «parfaits», c’est-à-dire, avec un petit quart de plus

Appréciation *** 
Ingrédients pour deux 
2 pavés de saumon de 150 g chacun (120 g, la prochaine fois ), la peau retirée 
1/2 tasse de riz cuit 
2 tasses de jeunes feuilles d’épinard 
1 c. à soupe d’huile + 1 c. à thé de beurre 
1/2 c. à thé d’estragon, ou mieux: 2 c. à soupe de beurre à l’ail et à l’estragon 

Pâte brisée pour une abaisse 
1 tasse de farine tout usage, non blanchie 
1 1/2 c. à thé de levure chimique ( poudre à pâte) 
1 pincée de sel 
3 1/2 c. à soupe légèrement bombées de margarine non hydrogénée 
1/2 de tasse d'eau froide 
1 1/2 c. à thé de vinaigre de cidre 
1 oeuf, dont on prendra un peu de jaune à l’aide d’un pinceau 

La cuisson se fait dans un four à 400 °F ( 200 °C) et dure une vingtaine de minutes.

1. Préparer d’abord la pâte. Dans un bol, réunir la farine, la poudre à pâte et le sel, et bien mélanger. Incorporer aux ingrédients secs la margarine par cuillerée et malaxer au coupe-pâte jusqu’à l’obtention d’une chapelure grossière. Cette étape importante prend environ 5 minutes. 

2. Verser le vinaigre dans l'eau, puis incorporer l’eau en commençant par 1/4 tasse mais en y allant modérément, versant juste ce qu’il faut pour que la farine soit bien intégrée aux autres ingrédients, en mélangeant à la fourchette sans trop travailler. 

3. Former une boule de pâte et l’envelopper dans une pellicule plastique. Mettre au frigo de 20 à 30 minutes avant de la rouler. Retirer du frigo 15 min avant de commencer la préparation si la pâte a passé plus de temps au frigo. 

4. Rouler la pâte en un rectangle que l’on divisera en deux carrés. Sur les deux carrés, étendre au centre les épinards qu’on aura fait tomber dans un peu de beurre. Déposer ensuite les pavés de saumon, tartinés de beurre à l’ail, et les surmonter de riz cuit. Envelopper les pavés de pâte en faisant un joint au centre et en fixant les extrémités avec une fourchette. 

5. Retourner les pavés sur une plaque à cuisson recouverte de papier parchemin, le joint en dessous, la garniture d’épinards au-dessus. Pratiquer des entailles à l’aide d’un couteau, puis badigeonner de jaune d’oeuf. 

6.  Cuire dans un four à 400 °F durant 20 minutes, au besoin actionner le gril (broil) et faire dorer 2 ou 3 minutes en surveillant.


dimanche 19 janvier 2020

Cuisses de canard confites, sauce express orange et figues +



Notre festin du samedi soir ? Un repas de paresseuse… Je ne me suis même pas donné la peine de désosser les cuisses confites ! Tout ce que j’ai fait, c’est rassembler les ingrédients de la sauce, prosciutto, champignons, figues séchées, jus et zeste d’orange et canneberges séchées avant de les faire revenir dans une petite casserole. C’est parfois tellement reposant de faire la cuisine, facile et hyper délicieux ! 

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour deux 
2 cuisses de canard confites, débarrassées de leur gras et de la sauce, ceux-ci réservés dans deux bols différents 

Sauce express, orange et figues 
3 tranches de prosciutto, hachées au couteau 
1 c. à soupe du gras de canard 
4 figues séchées, le pédoncule retiré, hachées 
10 petits champignons café, hachés grossièrement 
1 c. à soupe comble de farine 
Le jus d’une orange (on zeste le fruit avant de le presser)
La sauce (gélatineuse) fournie dans l’emballage du canard confit 
1/4 tasse de bouillon de boeuf, réduit en sel 
1/8 c. à thé de poivre de Cayenne 

Garnitures 
1 poignée de canneberges séchées
Le zeste de l’orange 

1. Réchauffer les cuisses de canard dans un four à 375 °F (190 °C). 

2. Dans une petite casserole, saisir le prosciutto dans la matière grasse de manière qu’il devienne croquant. Ajouter les figues, les champignons et cuire doucement 2 minutes. Saupoudrer de farine et bien mélanger avant de verser le jus d’orange, la sauce fournie avec le confit, le bouillon et le poivre de Cayenne. 

3. Porter à ébullition, la sauce épaissira. Laisser ensuite mijoter jusqu’à ce que le canard soit bien chaud, puis servir autour du canard avec le zeste de l’orange. 

 Ici avec de l’orzo et la délicieuse salade de mon goûteur.


samedi 18 janvier 2020

Filets d’aiglefin en croûte d’amande v.2 +


C’est toujours intéressant de tester des recettes qui se rapprochent de nos favorites, c’est souvent ainsi que notre cuisine évolue. Ce fut hier l’occasion de découvrir que la moutarde de Dijon fait un enrobage tendre très agréable pour accueillir la chapelure d’amande. Encore une chouette découverte pour cuire les poissons blancs tout en leur donnant du croustillant et du mordant. 

Appréciation *** 1/4 
Ingrédients pour deux 
2 beaux filets d’aiglefin, en trois ou quatre morceaux, environ 340 g 
1 c. à soupe d’huile d’olive + 1 c. à thé de beurre 
1 c. à soupe de moutarde de Dijon 
Sel et poivre au goût 

Enrobage croustillant 
3 c. à soupe d’amandes au naturel (non mondées), broyées 
2 c. à soupe de chapelure panko 
1 c. à thé d’un mélange d’herbes séchées et de poudre d’ail 
1 c. à thé de parmesan 
1/2 c. à thé de curcuma 

1. Préparer d’abord l’enrobage croustillant en réunissant dans un petit bol tous les ingrédients. Bien mélanger et étaler ensuite dans une grande assiette. 

2. Saler et poivrer les filets et les tartiner de moutarde sur leurs deux faces. Les presser dans l’assiette de chapelure d’amandes des deux côtés et réserver. 

3. Dans un grand poêlon à revêtement antiadhésif, cuire les filets de poisson 2 ou 3 minutes dans la matière grasse sur feu moyen-vif de chaque côté, jusqu’à ce que leur chair se défasse à la fourchette. 

Servis ici avec des frites santé. 

Recette tirée du livre La bible de la cuisine santé simple et légère, éditions Broquet, 2010